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Французский.rtf
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Vocabulaire

foie m – печінка

voie f (biliaire) – шлях (жовчний)

poids m – маса

face f – фасція, поверхня

région f – область, ділянка

sillon m – борозна

hile m – ворота печінки

vaisseau m – судина

pédicule m – печінкова ніжка

lobe m – частка, доля

substance f – речовина

formation f – утворення, формування

lobule f hépatique – печінкова долька

vascularisation f – кровопостачання

bile f – жовч

sécrétion f – секреція

lieu m – місце, участок

niveau m – рівень

canalicule m – каналець

pancréas m – підшлункова залоза

duodénum m – дванадцятипала кишка

vésicule m – пухирець

digestion f – травлення

L’Objet de la chimie

La chimie est une science neuve. Par ses application innombrables, c’est la science-clé : celle des matières plastiques, des textiles artificiels, des détersifs, des métaux, des combustibles, des engrais, des médicaments, etc., c’est à dire d’une infinité de produits élaborés devenus indispensables à notre bien- être. Nous savons qu’une transformation chimique entraîne la conversion d’une ou plusieurs substances en une ou plusieurs autres.

L’étude des transformations chimiques, ou réactions, conduit d’une part à l’étude de la composition de la matière et d’autre part à celle de ses propriétés.

Toutefois, le mécanisme de ces transformations ne saurait trouver d’explication sans que soient introduites les notions de cinétique et d’énergétique. L’étude des énergies qui entrent en jeu dans toute réaction chimique et des facteurs qui les déterminent intéresse à la fois la thermodynamique chimique et la connaissance de la structure intime de la matière, du mécanisme profond de ces transformations et des causes qui les déterminent. N’oublions pas que la plus grande partie de l’énergie nécessaire à nos besoins (industriels, domestiques, transports, etc.) nous est apportée par des transformations chimiques dites de combustion (charbon, pétrole, etc.) et que le développement de la civilisation moderne repose sur cette énergie. A partir de son objet, on a établi trois subdivisions fondamentales de la chimie, qui restent toujours valables : la chimie physique ou générale, la chimie organique et la chimie minérale.

On entend par la chimie physique l’étude de la structure fondamentale de la matièreet à partir de celle-ci, l’explication de ses transformations. Elle se propose également de vérifier les lois et les théories émises.

La chimie organique et la chimie minérale ont pour objet commun l’étude des composés chimiques et de leurs réactions : la chimie organique s’attache à celle des composés dérivés du carbone, la chimie minérale – à celle de tous les autres dérivés des éléments. Notons à ce propos que les composés dérivés du carbone sont infiniment plus nombreux que les dérivés de tous les autres éléments chimiques réunis.

L’Air

L’air est constitue l’atmosphère qui entoure la Terre sur une épaisseur de plusieurs centaines de kilomètres. L’air est un gaz incolore, invisible. Comme toute matière gazeuze, il est expansible et compressible. L’air est pesant.

Comme toute matière, l’air a aussi une masse. Sa masse volumique dépend de sa température et de sa pression. Dans les conditions normales de température et de pression sa masse volumique est 1,3 kg/m3 (un virgule trois kilogrammes par mètre cube).

L’air est un mélange. Il contient 78% (soixante-dix-huit pour cent) d’azote, 21% d’oxygène, 1% d’autres gaz (gaz carbonique et gaz inertes). On trouve aussi dans l’air atmosphérique une quantité variable de vapeur d’eau et des particules solides (poussières et microbes). 1/5 (un cinquième) du volume de l’air compose l’oxygène.

La liquéfaction de l’air est une opération industirelle. Après l’avoir fortement comprimé, puis refroidi, on laisse l’air se détendre ; cette détente s’accompagne d’un nouvel abaissement de la température qui provoque la liquéfaction d’une partie du gaz mis en jeu. On obtient un liquide, légèrment bleuté, qui coule comme l’eau.

La température de l’air liquide est très basse. La température d’ébulliton de l’air liquide n’est pas fixe. L’air liquide n’a pas de constantes physiques. A ces caractères on reconnaît que l’air est un mélange.

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