Le rôle de la femme dans la vie moderne (11)

Ce n’est pas par hasard que le nom d’Homo sapience a été donné à la race humaine. Les femmes constituent la moitié de l’humanité et dans beaucoup de pays elles dépassent numériquement les hommes. Cependant, pendant des siècles, on les a considérées comme des êtres inférieurs. Elles ont coupé les arbres et tiré l’eau des puits (колодец) ; elles ont peiné dur pour une contrepartie matérielle minime et elles ont bénéficié aux yeux de la société d’un modeste statut. Elles ont reçu moins d’instruction, elles ont été moins protégées par les lois et se sont vu refuser les plus élémentaires des droits civiques.

Il est vrai que certaines femmes ont joué un rôle plus noble, plus important. Depuis les temps les plus reculés, les femmes ont régné. Mais dans la plupart des cas, leur histoire n’a pas varié : elles ont été reines ou esclaves.

Malgré des progrès législatifs en domaine des droits de la femme, force est constater que beaucoup reste à accomplir sur le chemin de l’égalité réelle entre les hommes et les femmes.

Dans le monde du travail les femmes continuent à être victimes de discriminations : dans la temps partiel subi, dans le maintien à des postes peu qualifiés et donc moins bien rémunérés, dans la différence de salaire inexplicable – à poste et niveau de responsabilité équivalent les femmes continuent à gagner 10 pou cent de moins que les hommes et pour leurs retraites, qui sont d’un niveua bien enférieur à celles des hommes.

Le monde de l’entreprise doit s’atteler beaucoup plus sérieusement à la mise en oeuvre de la législation existante. Les grandes entreprises doivent donner l’exemple : que ce soit en matière d’égalité de traitement, tant pour les promotions que les salaires, que de représentations des femmes au sein des conseil d’administration.

L’Etat pour sa part, doit affirmer le rôle de femmes dans la gestion des affaires publiques et leur faire une place plus grande dans la haute fonction publique. Aujourd’hui il y a seulement 10 pour cent des femmes prefets ; 11 pour cent de femmes ambassadeurs et 16 pour cent de femmes directrices d’hopital.

Le monde politique n’est pas en reste, comme le prouve la faiblesse de l a représentation féminine au sein de notre Parlement.

L’histoire des rapports entre l’homme et l’image (1)

A l’origine, la fonction de l’image est de restituer un lien magique entre l’homme et l’object, l’animal ou le dieu représenté. Ce lien va rapidement se transformer en culte et c’est ce culte qui suscitera l’interdiction de Dieu adressé aux Hébreux(евреи) pendant l’Exode(миграция). On rappotre que bien des paiens(язычники) ont refusé de se convertir au christianisme parce qu’ils étaient idolâtre et que les premiers chrétiens observaient les commandements de Moise. Mais les tolérances sont arrivés, les conversions ont eu lieu. Il n’y avait plus que les juifs et les musulmans pour rester fidéle aux interdits.

Probablement influencés par eux, l’empereur Léon III a fait la guerre aux images. L’explosion iconoclaste la plus célébre a eu lieu à Tournai où la révolte mit à sac les églises, les statues, les réliques. Seulement au milieu du XVI siècle les artistes ont pu savoire ce qui était autorisé et ce qui était interdit. En fait, la plus grande négation de l’image surviendre dans les temps modernes avec l’art abstrait. Ainsi, l’image n’a jamais été conçu et ce depuis qu’elle existe comme innocente, indifférente. Avec le cinéma et la télévision nous sommes retournés de la véneration à l’image. Toutes les conditions sont d’ailleurs réunie pour créer la léthargie, l’hypnose, c’est-à-dire la passivité, la seduction. Il y a dans la contemplation d’une image fixe, et plus encore dans la lecture, une participation active qui peut se transformer en un dialogue d’egaux. Mais l’image mouvante imite la vie et capte(захватывать) la vie du spectateur.